Recrutement: Mysis

*Il se tenait là, devant les portes des Enfers se demandant comment il était parvenu jusqu'ici. C'est alors qu'il se rappela cette nuit où il entendit sa mère crier de douleur à quelque pas d’où il se trouvait. Il couru le plus vite possible mais lorsqu’il arriva au dit endroit il était déjà trop tard et sa mère gisait sur le sol sans vie. Soudain il aperçu une ombre derrière lui et esquiva de justesse le coup d’épée porté par l’assassin de sa mère. Il s’empara de sa dague et vint la planter dans la gorge de son assaillant ne lui laissant aucune chance. Après cela il se jura de ne plus jamais tuer et de consacrer sa vie à venir en aide au plus faibles. Mais un homme vint tout faire basculer lorsqu’il lui proposa un marché lui assurant une vie paisible, mais il n’en fut rien cet homme sans scrupules le fit passer pour un fou et souilla son nom. Cette fois s’en était trop, il avait enduré tellement de choses dans sa vie que ce fut la goute qui fit déborder le vase, il tua cet homme à ce moment précis ses convictions avaient changées et il veut maintenant se venger de tous ceux qui l’avaient utilisé comme un vulgaire objet. Il ne veut plus faire régner le bien autour de lui mais bien la mort et la peur. C'est pour cela qu'il se présente en ce jour pour trouver dans les Enfers des hommes et des femmes capables de lui inculquer leurs valeurs et leur force...*


Bonjour à tous, je pose ma candidature pour rejoindre vos rangs et pouvoir vous apportez encore plus d'âmes dans votre Royaume. Je reviens après près de 4 ans mais cette fois ci en tant que guerrier et non plus soigneur comme je l'étais avant. Je ne suis que niveau 44 (à mon grand regret je n'ai pu récupérer mon ancien personnage =( ) mais je tente d'évoluer assez vite pour commencer à tuer...

Merci de m'avoir lu, Mysis.

Ps: désolé pour le rp s'il n'est pas bon mais je n'ai pas l'habitude d'en faire, j'aurai essayé Sokar =)

Si tu pouvais le développer un peu plus ce serait cool

L'astre du jour arrivait en fin de course, parant de ses douces couleurs de soirée, enveloppantes et chaleureuses, l'étendue désertique que je traversais pour rejoindre l'antre de nos limbes. La terre me semblait vibrer encore. L'air me semblait résonner encore. Le vent portait loin ce parfum d'ignominie qui nous enivrait, nous, Gardiens des Enfers. Et pourtant, il était là... Chétif, pâle, doté d'un regard haineux. Un jeune homme s'apparentant davantage à une proie facile qu'à un futur serviteur de la Porte des Enfers..

J'hésitais un moment sur le sort que j'allais lui destiner, j'avais l'instinct de le brûler sur place.. L'oeil mauvais, je le toisais de tout le mépris dont j'étais capable, m'imaginant ce qu'il serait, après.

Je levais les mains vers le ciel assombri, invoquant des flammes méphistophéliques, me réjouissant du spectacle d'un regard devenu immobile.

Je me ravisais rapidement, un rictus contractant mon visage. Il n'était déjà presque rien... sinon ces yeux souffreteux... J'avais envie de savoir si ce regard perdurerait dans le temps, prendrait de l'ampleur, s'il portait comme il semblait en avoir la prétention un signe de possible appartenance à notre blason... au pire s'il divertirait mes frères d'armes quelques heures.

J'ouvris la lourde porte et le laissa contempler l'intérieur de la nécropole, à l'écoute d'une arrivée opportune.

*En voyant cette Dame s’approcher il eut un sentiment de peur… Non. Pas de la peur, mais plutôt de l’admiration. Il se demandait comment il était possible d’avoir autant de grâce mais en même temps dégager autant de noirceur. Cet être posté devant lui le poussait encore plus à choisir cette voie, celle de la souffrance d’autrui et du chaos. Il rassura la Dame sur un ton plus ou moins assuré que son regard haineux grandirait sans cesse et qu’il sacrifierait tout pour leur cause.

Après cela il regarda la porte s'ouvrir voulant voir quel autre être sortirait de cette forteresse.*

Il regardait admiratif, et rien ne se passa... La curiosité avait déserté les lieux en même temps que la vie.. Les gardiens étaient occupés ailleurs, ivres-morts ou morts tout court ou simplement... méprisants.

Je regardai derrière moi, la porte restera ouverte...

Plissant les yeux, je poussai violemment Mysis en avant.

Entre maintenant! Qu'ils te regardent! Montre nous de quoi tu es capable.



[...]